Information pour tous nos amis qui nous demandent souvent des reliques du Serviteur de Dieu Marie-Joseph Lagrange o.
Ce qui ne nous empêche pas de prier pour sa glorification et de confier à son intercession les grâces dont avons besoin.
Information de la Congrégation des causes des saints, extrait de l’Instruction « Les reliques dans l’Église : authenticité et conservation. Rome 2017.
Information pour la conservation des reliques dans l’Église
Les reliques ont toujours fait l’objet dans l’Église d’une particulière vénération et attention, parce que le corps des Bienheureux et des Saints, destiné à la résurrection, a été sur la terre le temple vivant de l’Esprit Saint et l’instrument de leur sainteté, qui a été reconnue par le Siège Apostolique à travers la béatification et la canonisation. Les reliques des Bienheureux et des Saints ne peuvent être exposées à la vénération des fidèles sans un certificat spécial de l’autorité ecclésiastique, qui en garantit l’authenticité.
Traditionnellement, sont considérées comme reliques insignes le corps des Bienheureux et des Saints, ou les parties importantes de celui-ci, ou encore la totalité des cendres provenant de sa crémation. Les Évêques diocésains, les Éparques, ceux qui leurs sont assimilés par le droit, et la Congrégation des Causes des Saints réservent à ces reliques une attention et une vigilance particulières pour en assurer la conservation et la vénération et pour éviter tout abus. Elles sont par conséquent conservées dans des reliquaires spécifiques scellés et placés en des lieux qui en garantissent la sécurité, en respectent le caractère sacré et en favorisent le culte.
Sont considérées comme reliques non insignes les petits fragments du corps des Bienheureux et des Saints ainsi que les objets qui ont été en contact direct avec leur personne. Elles doivent être si possible conservées dans des reliquaires scellés. Elles sont de toute façon conservées et honorées dans un esprit religieux, en évitant toute forme de superstition et de commerce.
La même discipline s’applique aussi à la dépouille mortelle (exuviae) des Serviteurs de Dieu et des Vénérables, dont les causes de béatification et de canonisation sont en cours. Tant qu’ils ne sont pas élevés à la gloire des autels à travers la béatification ou la canonisation, leur dépouille mortelle ne peut jouir d’aucun culte public, ni des privilèges qui sont réservés seulement au corps de qui a été béatifié ou canonisé. Les reliques dans l’Église
Relics in the Church have always received particular veneration and attention because the body of the Blesseds and of the Saints, destined for the resurrection, has been on earth the living temple of the Holy Spirit and the instrument of their holiness, recognized by the Apostolic See through beatification and canonization. The relics of the Blesseds and of the Saints may not be displayed for the veneration of the faithful without a proper certificate of the ecclesiastical authority who guarantees their authenticity.
The body of the Blesseds and of the Saints or notable parts of the bodies themselves or the sum total of the ashes obtained by their cremation are traditionally considered significant relics. Diocesan Bishops, Eparchs, those equivalent to them in law and the Congregation for the Causes of the Saints reserve for these relics a special care and vigilance in order to assure their preservation and veneration and to avoid abuses. They are, therefore, preserved in properly sealed urns and are kept in places that guarantee their safety, respect their sacredness and encourage their cult.
Little fragments of the body of the Blesseds and of the Saints as well as objects that have come in direct contact with their person are considered non-significant relics. If possible, they must be preserved in sealed cases. They are, however, preserved and honored with a religious spirit, avoiding every type of superstition and illicit trade.
A similar discipline is applied also to the mortal remains (exuviae) of the Servants of God and the Venerables, whose Causes of beatification and canonization are in progress. Until they are elevated to the honors of the altars through beatification or canonization, their mortal remains may not enjoy any public cult nor those privileges which are reserved only to the body of someone who has been beatified or canonized. Relics in the Church
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