« Laudato si’, mi’ Signore », – « Loué sois-tu, mon Seigneur », chantait saint François d’Assise. Dans ce beau cantique, il nous rappelait que notre maison commune est aussi comme une sœur, avec laquelle nous partageons l’existence, et comme une mère, belle, qui nous accueille à bras ouverts : « Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la terre, qui nous soutient et nous gouverne, et produit divers fruits avec les fleurs colorées et l’herbe »
C’est par ses paroles que le Saint-Père François commence son encyclique qui nous invite à protéger la Création et à respecter la sacralité de la vie humaine.
Le P. Lagrange nous dit que « L’Encyclique n’est pas un document ex cathedra, mais en l’adressant aux catholiques, le Souverain Pontife a rempli son office de Pasteur universel, indiquant aux fidèles la direction à suivre dans les questions agitées [en matière d’études bibliques]. Elle a donc droit au respect et à l’obéissance » (RB 4, 1895, p.54b).
13 juin 2015
« Pour moi, tous mes vœux ont été exaucés, la Ste Vierge Marie, à laquelle je me suis consacré de nouveau à ma tonsure, m’a présenté elle-même à Saint-Maximin, le Jour de sa Nativité et le jour du Très Saint Rosaire. Puisse-t-elle être toujours ma Mère, ma Maîtresse, ma Reine, ma Dame, ma Patronne, ma Protectrice, mon Avocate auprès de Jésus: puisse-t-elle me donner un peu de l’amour dont son cœur était enflammé pour Jésus; ô Marie, conduisez-moi par le plus court chemin au cœur de Jésus. Guérissez ma mère qui est votre enfant : je mets tous les miens sous la garde de votre Cœur Immaculé. »
12 juin 2015
« Je m’offre au Cœur Sacré de Jésus, par l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie, à plus d’application à la prière continuelle et je m’offre à souffrir quelque chose pour obtenir des vocations que j’ai en vue, ou d’autres plus agréables à Marie » (P. Lagrange, Journal spirituel).
10 juin 2015
Adorer, c’est rendre un culte d’hommages et de louanges. L’essentiel, c’est que partout où l’on adore, ce soit avec une disposition intérieure de l’esprit, pour s’unir à celui qui est Esprit. (R .P. Lagrange. L’Évangile de Jésus-Christ)
En ce jour anniversaire, nous sommes en union de prières avec fr. Manuel RIVERO o.p. qui célèbre la messe de ce jour aux intentions des amis du père Lagrange et pour sa prochaine béatification.
http://www.mj-lagrange.org/?page_id=35
6 et 7 juin 2015
La fidélité du P. Lagrange s’enracinait dans la prière. Ceux qui sont allés à Jérusalem se mettre à l’école d’un enseignant on découvert aussi un priant : « Nous l’avons vu, nous autres, ses disciples », atteste Mgr de Solages, « en prière devant le Saint-Sacrement, dans la basilique de Saint-Étienne, et de ce que nous avons vu et compris, nous rendons témoignage » (Fr. Bernard Montagnes, o. p. Marie-Joseph Lagrange. La figure du savant et du croyant).
04 juin 2015
L’humilité du père Lagrange
La première rencontre que j’ai faite avec le P. Lagrange vers les années 1928, j’étais jeune Frère. C’était un homme tout à fait paisible, sans aucune rancœur, qui ne nous a jamais parlé de ses débats avec Rome. Il nous a paru tout de suite comme un homme tout à fait supérieur, un humaniste, mais aussi un modèle d’observance de la vie religieuse. Petit détail : quand il revenait d’un des rares voyages qu’il faisait, il apportait ses comptes – il y mettait du temps pour les faire. Je l’ai vu faire la “venia”, non seulement à ses retours de voyage, mais quand il avait fait quelque erreur. Cela nous donnait d’autant plus d’admiration qu’il était d’une intelligence et d’une culture qui dominaient tout le monde à Saint-Maximin. J’ai admiré son humilité. Il est revenu plus tard (à Saint-Maximin) et s’est retiré et nous a enseigné la Bible. Je me souviens encore de l’accent qu’il y mettait. L’impression qu’il a produite sur nous tous est celle d’un exemple merveilleux de vie religieuse, de vie spirituelle et d’exigence scientifique (Témoignage de fr. Marie-Joseph Nicolas o. p. (1906-1992) dans le cadre du procès diocésain, le 12 mars 1992).
03 juin 2015
« Par votre Cœur transpercé, ô Seigneur très aimant, veuillez transpercer mon cœur des traits de votre amour, afin que rien de terrestre n’y demeure, et qu’il soit rempli par la seule vertu de votre Divinité » (Révélations de sainte Gertrude d’Helfta, livre 2, chap. 5, cité par le P. Lagrange dans son Journal spirituel).
02 juin 2015
L’écriture cunéiforme, écrire et compter
1er juin 2015
Le Rosaire pèlerin du Jubilé
http://www.op.org/fr/content/iubileum-FR-02
http://www.rosarium.op.org/spip/spip.php?article2485
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