27-28 octobre 2018
“Que veux-tu que je fasse pour toi ?” Mc 10, 51, par le père Lagrange o.p.
« Comme Jésus allait entrer , une demi-heure environ après avoir quitté la vieille ville [de Jéricho], une foule nombreuse le suivait. On se disait son nom, on l’acclamait. Un aveugle se mit à crier : « Fils de David, Jésus, aie pitié de moi. » Il se nommait Bartimée, d’après saint Marc qui l’avait sûrement connu parmi les frères. Il est vraisemblable qu’il se tenait là avec un autre aveugle, selon l’usage de ces malheureux de cheminer deux à deux ; cet autre partagea sa guérison, mais est demeuré inconnu. Bartimée, d’un caractère ardent et spontané, criait si fort, qu’on lui imposa silence. Mais lui de crier encore plus haut : « Fils de David, aie pitié de moi ! » Jésus était déjà passé. Touché de son malheur, et aussi de tant de confiance, il s’arrêta : « Appelez-le ! » La foule, mobile comme toujours, s’intéresse maintenant à l’aveugle. « Courage ! lève-toi ; il t’appelle. » Alors l’homme au lieu de s’avancer en tâtonnant pour bien faire constater qu’il était aveugle et inspirer la pitié, jette son manteau pour être plus libre, bondit, et d’un instinct très sûr se trouve en face de Jésus. Afin de lui permettre d’exprimer publiquement sa foi, le Sauveur demande à l’aveugle : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Mais que peut désirer un aveugle ? « Maître, que je voie ! » Et Jésus lui dit : « Va ; ta foi t’a sauvé. » Aussitôt il fut guéri et il le suivit, et sa reconnaissance éclatant en louanges envers Dieu, la curiosité de la foule se transforma en une pieuse admiration » (Marie-Joseph Lagrange o.p., L’Évangile de Jésus-Christ avec la synopse évangélique, p. 456, Artège-Lethielleux, 2017).
Un autre commentaire de ce même évangile nous est donné pour ce dimanche par le fr. Jean-François Rauscher o.p. nous montrant, à l’exemple de Bartimée, comment « suivre Jésus sur le chemin ». cath.ch
22 octobre 2018
Saint Jean-Paul II loue le père Lagrange
En septembre 2010, nous diffusions dans la Revue du Rosaire le texte suivant que nous partageons, à nouveau volontiers, avec vous en ce jour de la fête de Saint Jean-Paul II :
S’adressant aux membres de l’Académie pontificale des sciences le 31 octobre 1992, le pape Jean-Paul II a comparé la crise provoquée par la condamnation de Galilée à celle qui occasionna le désaveu du Père Lagrange :
« En vertu de sa mission propre, l’Église a le devoir d’être attentive aux incidences pastorales de sa parole. Qu’il soit clair, avant tout, que cette parole doit correspondre à la vérité. Mais il s’agit de savoir comment prendre en considération une donnée scientifique nouvelle quand elle semble contredire des vérités de foi. Le jugement pastoral que demandait la théorie copernicienne était difficile à porter dans la mesure où le géocentrisme semblait faire partie de l’enseignement lui-même de l’Écriture. Il aurait fallu tout ensemble vaincre des habitudes de pensée et inventer une pédagogie capable d’éclairer le peuple de Dieu. Disons, d’une manière générale, que le pasteur doit se montrer prêt à une authentique audace, évitant le double écueil de l’attitude timorée et du jugement précipité, qui l’un et l’autre peuvent faire beaucoup de mal.
Une crise analogue à celle dont nous parlons peut être ici évoquée. Au siècle passé et au début du nôtre, le progrès des sciences historiques a permis d’acquérir de nouvelles connaissances sur la Bible et le milieu biblique. Le contexte rationaliste dans lequel, le plus souvent, les acquis étaient présentés, a pu sembler les rendre ruineux pour la foi chrétienne. Certains, dans le souci de défendre la foi, ont pensé qu’il fallait rejeter des conclusions historiques, sérieusement établies. Ce fut là une décision précipitée et malheureuse.
L’œuvre d’un pionnier comme le Père Lagrange aura été de savoir opérer les discernements nécessaires sur la base des critères sûrs. (1) »
(1) Acta Apostolicae Sedis 85 (1993) 764-772, Cité par Bernard MONTAGNES, o.p, Le serviteur de Dieu Marie-Joseph Lagrange, o.p. (1855-1938), Biographie critique, Rome 1999, p. 460.
18 octobre 2018
Saint Luc, évangéliste, 1er siècle, par le père Lagrange
Le père Lagrange dans son introduction de l’Évangile selon saint Luc (1941, p. XVIII) nous dit que : « Saint Luc est le patron de la peinture chrétienne. Et certes elle lui doit plus qu’à personne. C’est dans son évangile que les peintres du Moyen Âge et de la Renaissance ont pris leurs thèmes favoris, l’Annonciation, la Visitation, l’adoration des bergers, la présentation au Temple, l’enfant Jésus parmi les docteurs, la pècheresse, les disciples d’Emmaüs, et tant d’autres. Lui-même aurait été peintre, en même temps que médecin.
Cette tradition vient de l’Église de Jérusalem. Nicéphore Calliste, du XIVe siècle, la récite d’après Théodore le Lecteur. L’impératrice Eudocie, fondatrice de l’église de la lapidation de saint Étienne, aurait envoyé à Pulchérie une icône de la mère de Dieu peinte par saint Luc. Si ce Théodore anagnostès est de 530 environ, comme le dit Krumbacher, il aurait été postérieur de moins d’un siècle à Eudocie. Et si l’on possédait alors à Jérusalem une très antique image de la Vierge, pourquoi l’attribuer à un médecin si la tradition n’en faisait pas un peintre ? Ce peut être toutefois l’expression d’une autre tradition que suggère le texte lui-même, sur le soin que prit l’évangéliste de s’informer auprès de la mère de Jésus. »
Note : Lorsqu’il était au petit séminaire d’Autun, Albert Lagrange fit d’excellentes études secondaires. On apprenait alors, par cœur, l’évangile de saint Luc en grec !
15 octobre 2018
Sainte Thérèse d’Avila, vénérée par le père Lagrange
Sainte Thérèse d’Avila (1515-1582), « la grande Thérèse »
Docteur de l’Église, réformatrice du Carmel et patronne de l’Espagne
Durant l’exil des frères de Saint-Maximin en Espagne, à Salamanque, en 1883, le frère Marie-Joseph Lagrange, avec la proximité de sainte Thérèse d’Avila, vénérée à Alba de Tormès, où les frères se rendent en pèlerinage à plusieurs reprises : Marie-Joseph Lagrange devient pour toujours un fidèle dévot de la Madre. Expériences spirituelles, trop discrètement rapportées, dans des passages de son Journal spirituel. (B. Montagnes o.p., Marie-Joseph Lagrange. Une biographie critique, Cerf, 2004.)
Dans l’un de ses articles, le père Montagnes nous précise ce que le père Lagrange doit à Thérèse d’Avila : une « belle doctrine », une « belle pensée » « Mon Dieu, votre lumière est admirable ! Soyez béni de l’avoir prodiguée à votre fidèle, Thérèse de Jésus ! » « Ma bonne et chère sainte, ma courageuse sainte, donnez-moi quelque chose de votre amour pour « Jésus. » « La lecture des lettres de sainte Thérèse – toujours elle – me donne beaucoup d’estime du courage, de l’action. »
Pour lire l’article en entier : Ce que le père Lagrange doit à Sainte Thérèse d’Avila
Canonisation du pape Paul VI
Rappelons-nous : le 14 mars 1974, le pape Paul VI prononçait un discours aux membres de la Commission biblique pontificale réunie à la suite du concile Vatican II, le rôle essentiel du père Lagrange dans le progrès de l’exégèse : Le pape Paul VI loue le père Lagrange
13 octobre 2018
La foi de l’Église, la foi de la Vierge Marie pour le père Lagrange o.p.
La foi de l’Église est la foi de la Vierge Marie. Imprégné dès son enfance de la dévotion à la Vierge Immaculée si chère aux Lyonnais, le père Lagrange a vécu en communion quotidienne avec la Mère de Jésus qu’il priait dans le Rosaire.
En bon dominicain, cette relation filiale envers la Vierge Marie se traduisait en fruits apostoliques. L’École biblique ainsi que plusieurs ouvrages exégétiques ont été mis sous le patronage de la Mère de Dieu. Il aimait choisir les fêtes de la Vierge pour signer ses études bibliques.
Disciple et missionnaire de son Fils, la Vierge Marie joue un rôle important dans la foi des chrétiens et dans la Nouvelle Évangélisation. (Le père Lagrange, lumière pour la nouvelle évangélisation(extrait) par Fr. Manuel Rivero, o.p.) Pour relire l’article en entier : Le père Lagrange, lumière pour la nouvelle évangélisation
Aujourd’hui, plus que jamais, le pape François nous demande de prier chaque jour la Vierge Marie pour l’Église. La prière du chapelet nous y aide, chez soi, en équipe…
11 octobre 2018
L’institution de l’eucharistie par fr. Marie-Joseph Lagrange o.p. et l’eucharistie par saint Jean XXIII
Le chef-d’œuvre, le trait divin de l’eucharistie, est d’avoir surpassé l’ambition insensée des désirs par la plénitude du don, mais sous une forme délicatement spirituelle qui écarte toutes les images grossières, et donne à entendre que la véritable union ne s’arrête pas à la manducation. Cet acte extérieur atteindra toujours la réalité du corps du Christ, mais le fidèle ne se nourrira vraiment de lui que si l’amour opère le rapprochement de notre esprit à l’Esprit du Christ. Laissons des critiques malins articuler le sarcasme de «magie». Toute la vie spirituelle de l’Église, amour de Dieu et amour du prochain, est suspendue à ce charme d’énergie divine, et de délices pour le cœur des croyants.
(Marie-Joseph-Lagrange O.P., L’Évangile de Jésus Christ, p. 549, Artège-Lethielleux, 2017.)
L’eucharistie du saint pape Jean XXIII
« Oh ! comme je sens la signification et la tendresse du « Domine non sum dignus » de chaque matin avec l’Hostie sainte en main et comme sceau d’humilité et d’amour. » (Henri Fesquet, Les fioretti du bon pape Jean, Fayard, 1963.)
10 octobre 2018
Jour-anniversaire (10 mars 1938) de la « montée au ciel » du père Marie-Joseph Lagrange o.p.
Aujourd’hui, nous sommes en communion de prières avec frère Manuel Rivero o.p. qui célèbre la messe pour la béatification du père Lagrange. Comme le père Lagrange, accueillons Marie comme Mère de la Parole faite chair ! et n’oublions pas qu’il intercède pour nous avec la Vierge Marie et tous les saints.
Notre intention de prière de ce jour pour : Emma, 9 mois et Hugo, 34 mois qui souffrent de maladie lysosomale, et pour leurs parents.
Vous pouvez confier vos intentions ainsi que les grâces reçues : pere.marie.joseph.lagrange@gmail.com.
9 octobre 2018
Le père Lagrange dans son Journal spirituel priait saint Louis Bertrand o.p.
Le père Lagrange dans son Journal spirituel priait saint Louis Bertrand.
Saint Louis Bertrand, priez pour nous.
Pour ceux qui ne connaissent pas cette grande figure dominicaine, se reporter à la page internet des Dominicains du Canada : http://www.dominicains.ca/Histoire/Figures/bertrand.htm
8 octobre 2018
La figure du père Lagrange reste une grande inspiration, par le P. Jean-Jacques Pérennès o.p.
Au cours d’une interview de fr. Jean-Jacques Pérennès o.p., directeur de l’École biblique de Jérusalem, l’une des questions était la suivante :
Une figure reste indissociable de l’École biblique, celle du père Lagrange. Que vous inspire cette grande figure aujourd’hui ? Que reste-t-il de son intuition ?
La figure du père Lagrange reste en effet une grande inspiration pour nous, car il a su mener une étude savante de la Bible, prenant en compte l’apport parfois déroutant des sciences modernes, tout en le faisant in medio ecclesiae, et ce, malgré les critiques très dures et parfois injustes dont il a été l’objet de la part de la hiérarchie et/ou de certains de ses membres. Nous espérons que l’aboutissement de sa cause de béatification permette de mettre en lumière cette possibilité d’être à la fois un grand savant et un grand croyant. (Lire la suite : http://www.op.org/…/125-ans-pour-lecole-biblique-de-jerusal…)
6 octobre 2018
Le secret de la vie du père Lagrange
Le secret de sa vie, c’était ce grand amour pour « Marie Immaculée, Reine du Rosaire » : le Père cachait jalousement ce trésor semblable à ces fleurs délicates et si belles que l’on craint de les cueillir en bouquet de peur qu’elles ne se fanent
(Fr. Marie-Réginald Loew, o.p., la Revue du Rosaire, n° 10-11, octobre-novembre 1939.)
5 octobre 2018
La foi de Marie demeure un modèle et une référence pour le père Lagrange
« Si Jésus sur la Croix a dû subir l’abandon de son Père, pourquoi l’âme de Marie n’aurait-elle pas connu des épreuves mystérieuses qui la plongeaient dans une sorte d’obscurité ? Peut-être ? Cependant Luc n’aurait pas écrit cette phrase, si l’on n’en avait recueilli l’expression de la bouche de Marie. Au moment où la Mère de Jésus rappelait aux premiers chrétiens les souvenirs qu’elle avait conservés dans son cœur, elle pouvait bien dire que dans ces premiers et heureux temps elle n’avait pas compris tout ce que comportaient la nature et la mission de son Fils. Pourquoi avait-il dû se séparer d’eux pour être chez son Père ? Première douleur imposée à la Mère, qui en présageait bien d’autres. » M.-J. Lagrange, Évangile selon saint Luc, p. 97-98.
(Manuel Rivero, o.p., Le père Lagrange et la Vierge Marie– La spiritualité mariale du père Lagrange, p. 38, Cerf, 2012.
4 octobre 2018
Saint François d’Assise, l’encyclique Laudato si’ et l’avis du père Lagrange sur la rédaction d’une encyclique par le Saint-Père
« Laudato si’, mi’ Signore » – « Loué sois-tu, mon Seigneur », chantait saint François d’Assise. Dans ce beau cantique, il nous rappelait que notre maison commune est aussi comme une sœur, avec laquelle nous partageons l’existence, et comme une mère, belle, qui nous accueille à bras ouverts : « Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la terre, qui nous soutient et nous gouverne, et produit divers fruits avec les fleurs colorées et l’herbe »
C’est par ces paroles que le Saint-Père François commence son encyclique qui nous invite à protéger la Création et à respecter la sacralité de la vie humaine.
Le P. Lagrange nous dit que « L’Encyclique n’est pas un document ex cathedra, mais en l’adressant aux catholiques, le Souverain Pontife a rempli son office de Pasteur universel, indiquant aux fidèles la direction à suivre dans les questions agitées. Elle a donc droit au respect et à l’obéissance » (RB 4, 1895, p. 54b).
3 octobre 2018
La prière du Rosaire (en communion avec les pèlerins du Rosaire à Lourdes) par le père Lagrange o.p.
Dans une conférence donnée aux laïcs dominicains et publiée à Saint-Maximin, le frère Lagrange définissait ainsi la prière du Rosaire, la reliant à la lecture de la Bible dans une dialectique féconde, un renvoi permanent de la prière du Rosaire à la Bible et de l’étude de la Bible ou de la lectio divina à la prière du Rosaire : le révélateur de la foi, la source de la grâce, c’est Jésus, mais on a recours pour s’unir à lui à l’intercession de sa très Sainte Mère. Vous entendez bien que c’est là tout le Rosaire. Le Rosaire est un résumé de l’Évangile, nous orientant vers la fin que nous font espérer l’Incarnation et la Passion de Notre-Seigneur Jésus Christ. […] Mais alors le Rosaire supplée à la lecture de l’Écriture, et la rend inutile ? Disons plutôt qu’il la fait désirer, qu’il nous la rend même nécessaire, si nous voulons réellement avoir devant les yeux les mystères que nous devons méditer.
Photo : La chapelle du rosaire de la basilique Saint-Étienne à Jérusalem où le père Lagrange, devant l’autel de la Vierge, vers deux heures et quart au plus tard, jusqu’à l’heure des Vêpres, égrenait son rosaire à genoux. (Le père Marie-Joseph Lagrange. Sa vie et son œuvrepar le père Louis-Hugues Vincent, o.p., Parole et Silence, 2013.)
2 octobre 2018
Les Saints Anges Gardiens
Le père Lagrange ne manquait jamais d’invoquer son ange gardien :
« Mon saint ange gardien, protégez-moi ! »
Ces anges auxquels nous sommes confiés :
Ce sont nos anges gardiens, ces anges auxquels nous sommes confiés, précisément pour qu’ils nous aident dans le combat spirituel lorsque la tentation nous menace. Ces anges peuvent prendre le visage d’une consolation reçue dans la prière, une force intérieure qui vient nous conforter et nous permettre de surmonter une tentation et de la vaincre. Ces anges peuvent manifester leur action par le témoignage stimulant de frères ou de sœurs qui nous manifestent au bon moment leur sollicitude par un sourire, un conseil, une invitation, une lettre qui arrive au moment opportun et nous évite de céder à une forte tentation. (Fr. Alain Quilici o.p., extrait homélie 9 mars 2003.)
1er octobre 2018
Sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897) et le père Lagrange (1855-1938) par Bernard Montagnes o.p.
[…] Peut-on raccorder le père Lagrange au char de triomphe de Thérèse de Lisieux ?
Après une enquête difficile sur la provenance du logion [parole], j’ai abouti aux archives du Carmel de Lisieux. Là se trouve une lettre du chanoine Terrillon (1893-1969), prêtre du diocèse de Meaux et vice-postulateur de la cause de Mme Martin, qui avait rencontré le père Lagrange, au printemps de 1927, alors en convalescence dans la maison d’accueil des Franciscaines de Sainte-Marie des Anges à Hyères. Le témoignage du chanoine Terrillon se présente ainsi : « Le R.P. Lagrange, dit un jour à [son] interlocuteur, en parlant du livre du P. Petitot sur sainte Thérèse de Lisieux : “Pourquoi avoir voulu enfermer dans la cage de nos cadres théologiques cette petite sainte, qui était faite pour voler librement en plein ciel du bon Dieu ?” Et il ajoutait finement : “Je lui dois de n’être pas devenu un vieux rat de bibliothèque. Je lui dois tout, car, sans elle, j’aurais dû me racornir, me dessécher l’esprit”. »
(Bernard Montagnes o.p., « Le père Lagrange d’une Thérèse à l’autre », revue Carmel, n° 139, mars 2011, p. 110-119.) Voir le texte en entier : https://www.mj-lagrange.org/?p=2106
Photo : Sainte Thérèse présente deux images de son bréviaire l’une dessinée par elle-même sur laquelle est inscrit : Je suis le Jésus de Thérèse : “Si quelqu’un est tout petit, qu’il vienne à moi.” L’autre représente le portrait de la Sainte Face, dessiné par sa soeur Céline, en 1905, d’après le Saint Suaire.
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